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Insuline et magnolia est un récit autobiographique plein d’élan, d’humour et de tendresse. Stanislas Roquette y raconte le choc du diagnostic médical et les moments d’espoir que nous offre parfois la vie.
Quand Stanislas découvre à 15 ans qu’il est atteint de diabète, son insouciance s’écroule face au couperet de la maladie. Le garçon joyeux s’assombrit et s’isole. Une rencontre va alors bouleverser sa vie. Celle de Fleur. Avec sa personnalité libre et solaire, cette jeune femme lui fait découvrir la puissance de la poésie, sa capacité à réenchanter le réel, à redonner un sens à l’existence. Ainsi, la pièce nous dévoile l’histoire de cette rencontre, de l’amitié qui s’ensuivit et du rebond vital qu’elle a réussi à susciter chez le jeune homme.
Une pièce vivifiante et incarnée, empreinte d’une poésie à la fois énergique et sensible.
IL NOUS EN PARLE
« Ce que je voudrais partager avec ce récit, c’est combien l’art et en particulier la poésie, pourtant si fragile et éphémère, nous sont d’une grande aide face à l’épreuve. Si Gilles Deleuze les a décrits comme une puissance de vie qui résiste à la mort, c’est parce que dans l’espace vide que laisse le retrait de la foi religieuse, ils s’affirment résolument comme une transcendance laïque. » Stanislas Roquette
LE SAVIEZ-VOUS ?
Stanislas Roquette a déjà foulé les planches du Théâtre de Chartres. Il était en effet dans la distribution de L’ A v a r e de Jérôme Deschamps la saison dernière, dans le rôle de Cléante.
« Une bouleversante histoire vraie. Un humour dévastateur. Un acteur splendide. » Télérama
Dramaturgie Alexis Leprince. Collaborations artistiques Denis Guénoun, Cédric Orain, Florent Turello, Nil Bosca. Avec la complicité de Guillaume Gallienne de la Comédie Française. Musique originale Christian Girardot. Mixage et enregistrement Flavien Van Landuyt (Studio le Zèbre). Lumière et Régie générale Yvan Lombard. Costume Gwladys Duthil.
Une coproduction Artépo, Maison de la Culture d’Amiens, Maison des Arts du Léman. Avec le soutien de la Compagnie Jérôme Deschamps, de NHC et d’État d’Esprit Productions, ainsi que de la ville de Besançon et du conseil départemental du Doubs. Remerciements : les Plateaux Sauvages, le Théâtre de la Cité Internationale, la Maison des Arts de Créteil, le Centre des Monuments Nationaux, Les Scènes Sauvages, Le foyer de l’âme, le lycée Jacques Decour, Gilles Jauffret, MJ et JF Peyrol. © Ludo.